Goreux : “L’arbitrage nous a malmenés”
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Goreux : “L’arbitrage nous a malmenés”
À l’exception de Van Damme, les Liégeois pointaient du doigt le rôle de Nzolo
GAND Les excuses sont faites pour s’en servir mais il est des soirs où, plus que d’autres, certains auraient tort de ne pas y piocher. Alors que Réginal Goreux refusait de se réfugier derrière la forme de ses coéquipiers (“tout le monde est à 100 %. De toute façon, dans des matches pareils, personne n’a le choix : il faut être à 100 %”) ou le manque d’automatismes parfois criant entre Gakpé et Tchite (“On joue ensemble depuis un an et Serge aussi nous connaît déjà sur le bout des doigts”), l’arbitrage de Jérôme Nzolo allait une nouvelle fois ramasser une série de tirs. Plus ou moins bien ajustés.
“L’arbitre a manqué de justesse” , précisait Réginal Goreux sans jamais tomber dans la colère. “Lorsqu’on additionne le hors-jeu sur le but gantois et le penalty qu’il oublie de siffler sur Meme, cela fait une nouvelle fois mal à l’estomac. Et ce n’est pas la première fois que cela nous tombe dessus. Sincèrement, c’est difficile à digérer.”
Et si Jelle Van Damme refusait samedi soir de se laisser aller à toute sortie sur l’arbitrage au risque de déraper (“j’ai chaque fois des problèmes par après” ), le vestiaire liégeois prenait le pli de se ranger derrière Goreux pour enfoncer un Jérôme Nzolo que la finale de la Coupe avait déjà drôlement secoué (notamment autour de l’exclusion de De Ceulaer).
“C’est clair que l’arbitre a laissé passer des choses”, confirmait Gakpé sans trop s’attarder sur le sujet. “Maintenant, cela ne sert à rien de ruminer tout cela pendant des jours. On doit passer à autre chose.”
Passer à autre chose, Monsieur Nzolo paraissait l’avoir déjà fait dès qu’il a retrouvé les vestiaires. Logiquement retourné à sa vie de famille et à la tranquillité d’un dimanche après-midi, l’arbitre belgo-congolais paraissait dépassé par le chahut que ses décisions avaient pu susciter.
“Je n’ai pas revu les images mais de toute façon, aucun joueur ne m’en a parlé samedi soir. Même Goreux m’a serré la main comme si de rien n’était. De toute façon, en tant qu’arbitre, vous n’avez pas le choix. Vous devez vous tailler une carapace sur laquelle toutes les critiques doivent s’écraser. Moi, dans le feu de l’action, j’ai fait confiance à mes assistants et j’étais sûr d’être maître de mon sujet.”
Dans le camp d’en face, Coulibaly (lui aussi victime d’un penalty oublié) n’avait aucune envie de s’offrir une soupe à la grimace après une soirée parfaitement contrôlée. Avec un but et une prestation trois étoiles, le Gantois laissait parler un calme olympien dont Goreux voulait d’ailleurs s’inspirer. “On ne va pas s’énerver maintenant. Cela ne sert à rien.”
GAND Les excuses sont faites pour s’en servir mais il est des soirs où, plus que d’autres, certains auraient tort de ne pas y piocher. Alors que Réginal Goreux refusait de se réfugier derrière la forme de ses coéquipiers (“tout le monde est à 100 %. De toute façon, dans des matches pareils, personne n’a le choix : il faut être à 100 %”) ou le manque d’automatismes parfois criant entre Gakpé et Tchite (“On joue ensemble depuis un an et Serge aussi nous connaît déjà sur le bout des doigts”), l’arbitrage de Jérôme Nzolo allait une nouvelle fois ramasser une série de tirs. Plus ou moins bien ajustés.
“L’arbitre a manqué de justesse” , précisait Réginal Goreux sans jamais tomber dans la colère. “Lorsqu’on additionne le hors-jeu sur le but gantois et le penalty qu’il oublie de siffler sur Meme, cela fait une nouvelle fois mal à l’estomac. Et ce n’est pas la première fois que cela nous tombe dessus. Sincèrement, c’est difficile à digérer.”
Et si Jelle Van Damme refusait samedi soir de se laisser aller à toute sortie sur l’arbitrage au risque de déraper (“j’ai chaque fois des problèmes par après” ), le vestiaire liégeois prenait le pli de se ranger derrière Goreux pour enfoncer un Jérôme Nzolo que la finale de la Coupe avait déjà drôlement secoué (notamment autour de l’exclusion de De Ceulaer).
“C’est clair que l’arbitre a laissé passer des choses”, confirmait Gakpé sans trop s’attarder sur le sujet. “Maintenant, cela ne sert à rien de ruminer tout cela pendant des jours. On doit passer à autre chose.”
Passer à autre chose, Monsieur Nzolo paraissait l’avoir déjà fait dès qu’il a retrouvé les vestiaires. Logiquement retourné à sa vie de famille et à la tranquillité d’un dimanche après-midi, l’arbitre belgo-congolais paraissait dépassé par le chahut que ses décisions avaient pu susciter.
“Je n’ai pas revu les images mais de toute façon, aucun joueur ne m’en a parlé samedi soir. Même Goreux m’a serré la main comme si de rien n’était. De toute façon, en tant qu’arbitre, vous n’avez pas le choix. Vous devez vous tailler une carapace sur laquelle toutes les critiques doivent s’écraser. Moi, dans le feu de l’action, j’ai fait confiance à mes assistants et j’étais sûr d’être maître de mon sujet.”
Dans le camp d’en face, Coulibaly (lui aussi victime d’un penalty oublié) n’avait aucune envie de s’offrir une soupe à la grimace après une soirée parfaitement contrôlée. Avec un but et une prestation trois étoiles, le Gantois laissait parler un calme olympien dont Goreux voulait d’ailleurs s’inspirer. “On ne va pas s’énerver maintenant. Cela ne sert à rien.”
la buse des ardennes- Modérateur
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Date d'inscription : 15/11/2011
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