Jovanovic: “On doit marquer au moins trois fois”
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Jovanovic: “On doit marquer au moins trois fois”
Jovanovic: “On doit marquer au moins trois fois”
Milan Jovanovic constate une grande faim au RSCA : “Moi, je voudrais marquer vite”
ANDERLECHT
Face à l’AZ, Anderlecht n’a pas dit son dernier mot. Foi de Milan Jovanovic. “Le groupe a très faim” , disait-il à sa conférence de presse, que tout le monde quittait avec le sourire. Preuve que Jova n’est pas spectaculaire que sur le terrain...
Milan, après le 1-0 à l’AZ, vous donniez 75 % de chances aux Néerlandais.
“Je suis 5 % plus optimiste aujourd’hui. (rires) Non, l’AZ reste favori. Mais si on marque en 1e mi-temps, les rôles seront inversés.”
Vous étiez sévère, après l’aller.
“Parce qu’on ne joue pas à l’extérieur comme à domicile. Et parce que notre vitesse de jeu était largement inférieure à celle de l’AZ. J’étais impressionné. Leur danger venait de partout. On ne savait plus dire qui de leurs joueurs était attaquant, médian ou défenseur. Individuellement, l’AZ n’est pas plus fort. Mais en tant qu’équipe, ils nous ont surpassés. Heureusement, Anderlecht est beaucoup plus fort à domicile.”
Pourquoi ?
“Malgré toute mon expérience, je n’ai pas d’explication valable. Le stade sera comble. 30.000 personnes derrière nous, cela motive (NdlR : en Coupe d’Europe, il n’y a de la place que pour 21.000 spectateurs au RSCA)”
Combien de buts faudra-t-il marquer ?
“Je pense au moins trois. Mais je peux me tromper. On va essayer de proposer un beau football. Si je peux choisir, je n’attendrais pas. J’essaierais de mettre la pression et de marquer le plus vite possible.”
Et personnellement, sentez-vous la pression ?
“Pas comme il y a cinq ou six ans. J’ai assez d’expérience pour faire face à la pression. D’ailleurs : on n’a rien à perdre. C’est mieux d’entamer le match avec cet état d’esprit que de penser qu’on est qualifiés d’avance.”
Êtes-vous doublement motivé vu votre statut de réserviste contre Westerlo ?
“Non. J’étais sur le banc pour être frais jeudi. C’était la bonne décision du coach. J’ai joué beaucoup de matches, cette saison. J’espère être prêt pour le match le plus important de la saison.”
Vous marquez souvent dans les matches importants.
“Je n’y avais pas encore pensé. Mais maintenant que vous me le dites, je vais en tenir compte. (rires) Même si j’ai d’autres tâches. Je ne suis pas un attaquant.”
Avez-vous parlé avec Mbokani des grandes soirées européennes avec le Standard ?
“Je ne parle pas trop de football avec Dieu. Je le laisse se concentrer sur sa musique. (rires) Mais il sera prêt, même s’il a quelques bobos.”
Milan Jovanovic constate une grande faim au RSCA : “Moi, je voudrais marquer vite”
ANDERLECHT
Face à l’AZ, Anderlecht n’a pas dit son dernier mot. Foi de Milan Jovanovic. “Le groupe a très faim” , disait-il à sa conférence de presse, que tout le monde quittait avec le sourire. Preuve que Jova n’est pas spectaculaire que sur le terrain...
Milan, après le 1-0 à l’AZ, vous donniez 75 % de chances aux Néerlandais.
“Je suis 5 % plus optimiste aujourd’hui. (rires) Non, l’AZ reste favori. Mais si on marque en 1e mi-temps, les rôles seront inversés.”
Vous étiez sévère, après l’aller.
“Parce qu’on ne joue pas à l’extérieur comme à domicile. Et parce que notre vitesse de jeu était largement inférieure à celle de l’AZ. J’étais impressionné. Leur danger venait de partout. On ne savait plus dire qui de leurs joueurs était attaquant, médian ou défenseur. Individuellement, l’AZ n’est pas plus fort. Mais en tant qu’équipe, ils nous ont surpassés. Heureusement, Anderlecht est beaucoup plus fort à domicile.”
Pourquoi ?
“Malgré toute mon expérience, je n’ai pas d’explication valable. Le stade sera comble. 30.000 personnes derrière nous, cela motive (NdlR : en Coupe d’Europe, il n’y a de la place que pour 21.000 spectateurs au RSCA)”
Combien de buts faudra-t-il marquer ?
“Je pense au moins trois. Mais je peux me tromper. On va essayer de proposer un beau football. Si je peux choisir, je n’attendrais pas. J’essaierais de mettre la pression et de marquer le plus vite possible.”
Et personnellement, sentez-vous la pression ?
“Pas comme il y a cinq ou six ans. J’ai assez d’expérience pour faire face à la pression. D’ailleurs : on n’a rien à perdre. C’est mieux d’entamer le match avec cet état d’esprit que de penser qu’on est qualifiés d’avance.”
Êtes-vous doublement motivé vu votre statut de réserviste contre Westerlo ?
“Non. J’étais sur le banc pour être frais jeudi. C’était la bonne décision du coach. J’ai joué beaucoup de matches, cette saison. J’espère être prêt pour le match le plus important de la saison.”
Vous marquez souvent dans les matches importants.
“Je n’y avais pas encore pensé. Mais maintenant que vous me le dites, je vais en tenir compte. (rires) Même si j’ai d’autres tâches. Je ne suis pas un attaquant.”
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“Je ne parle pas trop de football avec Dieu. Je le laisse se concentrer sur sa musique. (rires) Mais il sera prêt, même s’il a quelques bobos.”
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