Javier Pastore, le milieu de terrain du PSG, a le mal du pays

Interrogé par le média italien Radio Radio, Javier Pastore a une nouvelle fois défrayé la chronique par ses propos plutôt acerbes envers le club de la Capitale. L'Argentin a aussi évoqué les dossiers Beckham, Tevez et Kombouaré.
En ce moment, Javier Pastore se fait plus remarquer en dehors des terrains que par ses prestations avec le PSG. Même si sa dernière sortie face à Bilbao en Ligue Europa a été plutôt réussie, l’Argentin ne semble pas avoir retenu la leçon après son interview controversée au magazine « SO FOOT » il y a quelques semaines. Une sortie médiatique qui avait déjà fait des vagues. Nul doute que ses propos, recueillis jeudi par le média italien Radio Radio, devraient eux aussi faire du bruit. L’ancien de Palerme y évoque notamment l’élimination en Ligue Europa, son avenir et la vie en France. Morceaux choisis…



L’épisode malheureux en Ligue Europa
On a été éliminé parce qu’on a perdu un match très important avant Bilbao (ndlr : à Salzbourg le 1er décembre dernier). La qualification se jouait là-bas. Mais on a joué avec une équipe de rechange, des joueurs qui ne sont pas titulaires, et on a perdu

Son avenir
J’ai 22 ans et je veux continuer à grandir. Je m’entraîne avec une grande conviction pour réaliser mon rêve de jouer dans une grande équipe, peut-être dans le championnat espagnol. Si je veux qu’un jour un club plus grand que le PSG m’appelle, cela dépend de moi.

La nostalgie de l’Italie
Le football italien me manque et surtout Palerme. Ici en France, les supporters sont beaucoup plus froids qu’en Italie et qu’à Palerme.

Les possibles arrivées de Beckam et Tevez
Beckham veut venir, il veut être à Paris et tenter une nouvelle expérience. Je crois que l’affaire n’est pas encore réglée. C’est un grand joueur, s’il vient il peut apporter beaucoup. Il me semble que Tevez veut retourner en Argentine. Mais je ne sais pas ce qu’il va se passer.

Son entente avec Kombouaré
En France, ils ne sont pas habitués à changer après deux, trois défaites. Nous, Argentins, et vous, Italiens, ça change souvent (sourire). En France, quand ils disent que l’entraîneur va changer, il se passe un bordel (…) Moi, du Mister (Kombouaré), je ne peux rien dire. Il m’a toujours bien traité.