Riga : « Il n’y avait pas 2 000 façons »
Page 1 sur 1
Riga : « Il n’y avait pas 2 000 façons »
Riga : « Il n’y avait pas 2 000 façons »
L’entraîneur liégeois s’est servi d’autres atouts que ceux présentés habituellement. Cela a marché, c’est l’essentiel.
Pendant que des supporters de Cracovie lançaient encore des pétards après le match – l’amende de l’UEFA devrait être salée, c’est un minimum – José Riga appréciait la qualification de son groupe. Avec les moyens du soir.
Quelle est votre analyse ?
L’essentiel est réalisé, l’objectif est atteint. Je pense qu’il n’y avait pas 2 000 façons d’obtenir cette qualification. Vu les circonstances, l’équipe adverse, et le contexte, on avait un peu plus de mal dans le jeu. Il existe d’autres armes qui font partie du foot : l’organisation, la volonté, bien défendre. Je rappelle d’ailleurs qu’on n’a pas pris un but chez nous en Ligue Europa. Je tiens aussi à féliciter les joueurs qui n’ont pas toujours eu l’occasion de jouer et qui se sont montrés à la hauteur. Je pense notamment à Belhocine, qui a prouvé qu’on pouvait compter sur lui et dont le comportement a été exemplaire. Et puis vous savez à qui je pense en ce moment (NDLR : à Guy Namurois).
Avez-vous douté ?
Quand c’est 0-0, avec 1-1 à l’aller, ce n’est pas du doute mais des périodes difficiles à bien gérer. L’idée de départ a été respectée : on a laissé peu de choses à Cracovie. L’important était de contourner cet obstacle, en mettant des hommes autour du ballon, et même si nos sorties n’ont pas toujours été terribles. Dans l’envie et l’intensité, on était dans le bon.
La meilleure équipe s’est-elle qualifiée ?
C’est toujours la meilleure équipe qui passe. Si on prend les individualités, on savait qu’on ne leur était pas supérieur. D’où notre mérite, parce qu’on a été meilleur, collectivement.
Que vous inspire la perspective de retrouver Hanovre ?
On aura moins de scouting à faire…
Le positionnement de Buyens a surpris…
Lui aussi, peut-être (sourire). Mettre Bjarnason sur le côté, alors qu’il vient d’arriver, aurait été compliqué. Avec son volume de course et sa capacité à se décaler sur le côté gauche, c’était la solution. Surtout je voulais garder mes deux lignes de quatre (défense et milieu).
Le contexte émotionnel de ce match était particulier…
Je n’aime pas mélanger, mais au fond de chacun il y avait quelque chose de particulier… dont on se serait bien passé. Mais Guy est là, et pour un moment encore. Il aurait été content du comportement du groupe.
L’entraîneur liégeois s’est servi d’autres atouts que ceux présentés habituellement. Cela a marché, c’est l’essentiel.
Pendant que des supporters de Cracovie lançaient encore des pétards après le match – l’amende de l’UEFA devrait être salée, c’est un minimum – José Riga appréciait la qualification de son groupe. Avec les moyens du soir.
Quelle est votre analyse ?
L’essentiel est réalisé, l’objectif est atteint. Je pense qu’il n’y avait pas 2 000 façons d’obtenir cette qualification. Vu les circonstances, l’équipe adverse, et le contexte, on avait un peu plus de mal dans le jeu. Il existe d’autres armes qui font partie du foot : l’organisation, la volonté, bien défendre. Je rappelle d’ailleurs qu’on n’a pas pris un but chez nous en Ligue Europa. Je tiens aussi à féliciter les joueurs qui n’ont pas toujours eu l’occasion de jouer et qui se sont montrés à la hauteur. Je pense notamment à Belhocine, qui a prouvé qu’on pouvait compter sur lui et dont le comportement a été exemplaire. Et puis vous savez à qui je pense en ce moment (NDLR : à Guy Namurois).
Avez-vous douté ?
Quand c’est 0-0, avec 1-1 à l’aller, ce n’est pas du doute mais des périodes difficiles à bien gérer. L’idée de départ a été respectée : on a laissé peu de choses à Cracovie. L’important était de contourner cet obstacle, en mettant des hommes autour du ballon, et même si nos sorties n’ont pas toujours été terribles. Dans l’envie et l’intensité, on était dans le bon.
La meilleure équipe s’est-elle qualifiée ?
C’est toujours la meilleure équipe qui passe. Si on prend les individualités, on savait qu’on ne leur était pas supérieur. D’où notre mérite, parce qu’on a été meilleur, collectivement.
Que vous inspire la perspective de retrouver Hanovre ?
On aura moins de scouting à faire…
Le positionnement de Buyens a surpris…
Lui aussi, peut-être (sourire). Mettre Bjarnason sur le côté, alors qu’il vient d’arriver, aurait été compliqué. Avec son volume de course et sa capacité à se décaler sur le côté gauche, c’était la solution. Surtout je voulais garder mes deux lignes de quatre (défense et milieu).
Le contexte émotionnel de ce match était particulier…
Je n’aime pas mélanger, mais au fond de chacun il y avait quelque chose de particulier… dont on se serait bien passé. Mais Guy est là, et pour un moment encore. Il aurait été content du comportement du groupe.
Sujets similaires
» Genk avait le niveau de la Champions League... à domicile
» Chevalier : « Proto m'a dit que je pouvais être content parce qu'il m'avait laissé marquer ! »
» Dirar : « Tout le monde avait peur de perdre sa place avec le nouvel entraîneur »
» Riga : “Consistant sur les deux matches”
» Riga : “Des enseignements, pas que pour moi”
» Chevalier : « Proto m'a dit que je pouvais être content parce qu'il m'avait laissé marquer ! »
» Dirar : « Tout le monde avait peur de perdre sa place avec le nouvel entraîneur »
» Riga : “Consistant sur les deux matches”
» Riga : “Des enseignements, pas que pour moi”
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|