Ariel Jacobs : “Ça ne voulait pas rentrer…”
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Ariel Jacobs : “Ça ne voulait pas rentrer…”
Ariel Jacobs : “Ça ne voulait pas rentrer…”
Jacobs, fataliste : “Accélérer 90 minutes ? On ne jouerait pas en Belgique !”
Ariël Jacobs avait la mine défaite après la rencontre. Il essayait, tant bien que mal, de ravaler ses regrets. “C’est dur, car on est passé tout près. Mais bon, ce match, on ne peut pas le rejouer. À l’aller, on ne pouvait pas prétendre à plus. Mais ici, avec un seul petit but dans les premiers instants, nous aurions vu une tout autre partie…”
Pourquoi le Sporting n’a-t-il pas plus longtemps mis le pied sur le champignon, comme dans les premières minutes ?
Jacobs était clair : pour lui, le manque de réussite a joué un rôle décisif.
“Si on pouvait jouer 90 minutes comme ça, on ne jouerait pas en Belgique ! Le but était de prendre directement ce match en main. Nous l’avons bien fait et les occasions ont très vite suivi. Malheureusement, on ne les a pas concrétisées, notamment à cause d’un peu de malchance. En perte de balle, nous étions assez agressifs et nous laissions peu d’espaces à notre adversaire. Le groupe a montré de l’envie et le public a répondu présent pour mettre l’ambiance. Hélas, après une nouvelle opportunité pour Suarez, on a senti s’installer un peu d’empressement et d’inquiétude. Quand ça ne veut pas rentrer, c’est comme ça… Après le 0-1, notre tâche devenait très lourde.”
Le 18 sur 18 des Mauves lors du premier tour aura donc été presque… inutile. Jacobs le savait : “C’était… l’année passée. Nous aurions pu faire 21 sur 18, ça n’aurait rien changé ! Nous n’avions pas de bonus, on savait qu’on allait affronter un adversaire de qualité. Évidemment, c’est vrai que le 18 sur 18 a fait rêver certaines personnes. Pas les connaisseurs, sans doute…”
Les dirigeants anderlechtois étaient pourtant parmi les premiers à espérer un beau parcours. “Une telle élimination peut laisser des traces. Ce ne serait pas anormal à nous de vite digérer notre déception. Le programme sera moins chargé ? Avec l’Europe, nous aurions eu moins de pression dans la course au titre…”
Jacobs, fataliste : “Accélérer 90 minutes ? On ne jouerait pas en Belgique !”
Ariël Jacobs avait la mine défaite après la rencontre. Il essayait, tant bien que mal, de ravaler ses regrets. “C’est dur, car on est passé tout près. Mais bon, ce match, on ne peut pas le rejouer. À l’aller, on ne pouvait pas prétendre à plus. Mais ici, avec un seul petit but dans les premiers instants, nous aurions vu une tout autre partie…”
Pourquoi le Sporting n’a-t-il pas plus longtemps mis le pied sur le champignon, comme dans les premières minutes ?
Jacobs était clair : pour lui, le manque de réussite a joué un rôle décisif.
“Si on pouvait jouer 90 minutes comme ça, on ne jouerait pas en Belgique ! Le but était de prendre directement ce match en main. Nous l’avons bien fait et les occasions ont très vite suivi. Malheureusement, on ne les a pas concrétisées, notamment à cause d’un peu de malchance. En perte de balle, nous étions assez agressifs et nous laissions peu d’espaces à notre adversaire. Le groupe a montré de l’envie et le public a répondu présent pour mettre l’ambiance. Hélas, après une nouvelle opportunité pour Suarez, on a senti s’installer un peu d’empressement et d’inquiétude. Quand ça ne veut pas rentrer, c’est comme ça… Après le 0-1, notre tâche devenait très lourde.”
Le 18 sur 18 des Mauves lors du premier tour aura donc été presque… inutile. Jacobs le savait : “C’était… l’année passée. Nous aurions pu faire 21 sur 18, ça n’aurait rien changé ! Nous n’avions pas de bonus, on savait qu’on allait affronter un adversaire de qualité. Évidemment, c’est vrai que le 18 sur 18 a fait rêver certaines personnes. Pas les connaisseurs, sans doute…”
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Re: Ariel Jacobs : “Ça ne voulait pas rentrer…”
je ne peux m'empêcher d'avoir une petite pensée pour ce cher roger qui se voyait plus fort que braga et se voyait faire mieux qu'eux!
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