Mirallas : “Je pouvais devenir très riche en Russie”
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Mirallas : “Je pouvais devenir très riche en Russie”
Plusieurs clubs ont tenté de le transférer en janvier mais Mirallas veut attendre l’été
ATHENES La première bonne année de Kevin Mirallas puis sa confirmation cette saison ont largement dépassé les frontières grecques. L’intérêt est grand mais le Liégeois garde la tête froide. “J’aurais pu m’en aller en janvier mais je ne veux pas partir en cours de saison. Si je pars, ce sera en juin et par la grande porte.”
Lors du dernier mercato, les dirigeants de l’Olympiacos ont dû répéter plusieurs fois le même discours aux clubs intéressés. “Le président ne veut de toute façon pas me laisser partir. Il veut être champion avec moi.”
S’il avait forcé les choses, Kevin Mirallas aurait déjà pu être en Angleterre ou en Russie. “Il y a eu des offres ”, confirme le Belge. “Mais j’ai encore des objectifs à atteindre ici. Vous savez, je gagne déjà très bien ma vie ici. Si je pars, c’est pour un challenge sportif. En Russie, j’aurais pu devenir très riche mais cela aurait-il été bon pour ma carrière ? Je ne crois pas.”
À 24 ans, le joueur formé au Standard puis à Lille démontre une maturité qu’on ne lui avait pas toujours connue. “Aujourd’hui, je ne suis plus un gamin. Je me suis planté à Saint-Étienne mais on oublie un peu vite que je venais à peine de dépasser la vingtaine. J’ai fait des erreurs là-bas, j’en suis conscient et je ne m’en cache pas. Cela m’aurait fait ouvrir les yeux. Je suis bien plus mûr à l’heure actuelle.”
En juin, il pourra analyser sereinement les possibilités qui s’offrent à lui. Des clubs comme Everton, Newcastle et Marseille ont déjà fait part d’un intérêt. “Si je quitte l’Olympiacos, ce sera pour franchir un palier. Je chercherai à rejoindre une compétition plus huppée.”
L’échec de Djibril Cissé en Italie après avoir écrasé la compétition grecque ne fait pas peur à Kevin Mirallas. “Bon, déjà, Cissé n’est pas le joueur qui me fait vraiment rêver. Et puis, on l’utilisait mal à la Lazio. C’est une vraie pointe et on le mettait sur le côté. Si je fais un pas en avant, c’est que je me sentirai prêt. Je ferai tout ce qu’il faut pour m’adapter et réussir.”
Le Liégeois aime prendre Luis Fabiano en exemple. “L’attaquant brésilien avait commencé sa carrière à Rennes mais il s’y était planté totalement. Les gens pensaient qu’il n’avait pas le niveau. Quelques années plus tard, il devenait la star du FC Séville et l’attaquant titulaire de la sélection brésilienne. Il ne faut jamais juger trop vite.”
ATHENES La première bonne année de Kevin Mirallas puis sa confirmation cette saison ont largement dépassé les frontières grecques. L’intérêt est grand mais le Liégeois garde la tête froide. “J’aurais pu m’en aller en janvier mais je ne veux pas partir en cours de saison. Si je pars, ce sera en juin et par la grande porte.”
Lors du dernier mercato, les dirigeants de l’Olympiacos ont dû répéter plusieurs fois le même discours aux clubs intéressés. “Le président ne veut de toute façon pas me laisser partir. Il veut être champion avec moi.”
S’il avait forcé les choses, Kevin Mirallas aurait déjà pu être en Angleterre ou en Russie. “Il y a eu des offres ”, confirme le Belge. “Mais j’ai encore des objectifs à atteindre ici. Vous savez, je gagne déjà très bien ma vie ici. Si je pars, c’est pour un challenge sportif. En Russie, j’aurais pu devenir très riche mais cela aurait-il été bon pour ma carrière ? Je ne crois pas.”
À 24 ans, le joueur formé au Standard puis à Lille démontre une maturité qu’on ne lui avait pas toujours connue. “Aujourd’hui, je ne suis plus un gamin. Je me suis planté à Saint-Étienne mais on oublie un peu vite que je venais à peine de dépasser la vingtaine. J’ai fait des erreurs là-bas, j’en suis conscient et je ne m’en cache pas. Cela m’aurait fait ouvrir les yeux. Je suis bien plus mûr à l’heure actuelle.”
En juin, il pourra analyser sereinement les possibilités qui s’offrent à lui. Des clubs comme Everton, Newcastle et Marseille ont déjà fait part d’un intérêt. “Si je quitte l’Olympiacos, ce sera pour franchir un palier. Je chercherai à rejoindre une compétition plus huppée.”
L’échec de Djibril Cissé en Italie après avoir écrasé la compétition grecque ne fait pas peur à Kevin Mirallas. “Bon, déjà, Cissé n’est pas le joueur qui me fait vraiment rêver. Et puis, on l’utilisait mal à la Lazio. C’est une vraie pointe et on le mettait sur le côté. Si je fais un pas en avant, c’est que je me sentirai prêt. Je ferai tout ce qu’il faut pour m’adapter et réussir.”
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la buse des ardennes- Modérateur
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Date d'inscription : 15/11/2011
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